
Le cas Facebook


C’est un scénario digne d’un film apocalyptique que nous avons ensuite vécu quelques jours plus tard, soit le lundi 4 octobre, lorsque les plateformes Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp, toutes trois parties intégrantes de la même entreprise, ont été complètement inaccessibles pendant 6 heures. Certains l’ont vu comme une aubaine, d’autres comme une malédiction, mais sachez que ce n’est pas la plus longue panne enregistrée sur Facebook (14 heures en 2019, près de 24 heures en 2008). En revanche, c’est la plus longue sur l’ensemble des réseaux du géant. Facebook a attribué dans un communiqué de presse cette panne à un « changement de configuration défectueux » de ses serveurs. Selon des experts en cybersécurité, la gigantesque panne serait liée à des mises à jour du système informatique de routage, qui permet de relier les serveurs aux noms de domaine.
Tous ces évènements enchainés ont fait tout de même perdre 15% de sa valeur à Facebook et près de 6 milliards d’euros à Mark Zuckerberg qui a perdu une place au classement des personnalités les plus riches du monde (mais qui cumule toujours une fortune estimée à 120 milliards de dollars).
Facebook, qui possède actuellement le monopole des réseaux sociaux n’est donc pas si invincible… Cela nous permet de prendre du recul et de mesurer l’impact que tous ces réseaux ont sur notre quotidien. De quoi réfléchir à l’avenir et à l’évolution de l’usage qu’on en fait. Et vous, vous l’avez vécu comment le #Facebookdown ?
Mark Zuckerberg est un visionnaire. Alors quand son entreprise est au plus mal, il change de cap. Adieu Facebook, welcome “Meta”. Une vision nouvelle sur l’univers des réseaux sociaux : “un endroit où nous jouerons et nous connecterons en 3D”.
Mais oublierons nous les controverses passées ?
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